
SOPK (Syndrome des ovaires polykystiques) : symptômes, causes, critères de Rotterdam, examens et prise en charge
Meta-description : Règles rares, acné, hirsutisme, difficulté à concevoir… Comprendre le SOPK, ses critères de Rotterdam, le bilan utile et les options de prise en charge (mode de vie, médicaments, fertilité). Information générale – ne remplace pas un avis médical.
C’est quoi le SOPK ?
Le SOPK est un trouble fréquent de la fonction ovarienne associé à une hyperandrogénie, une dysovulation et parfois un aspect d’ovaires multifolliculaires à l’échographie. Il est hétérogène : les manifestations et les besoins de prise en charge varient selon les personnes.
Principaux symptômes
- Règles rares/irrégulières (oligo- ou aménorrhée), difficulté à prédire l’ovulation.
- Signes cutanés d’hyperandrogénie : acné, hirsutisme, alopécie androgénétique.
- Poids, résistance à l’insuline, impact possible sur l’humeur et la qualité de vie.
Prise en charge (grandes lignes)
- Mode de vie : alimentation équilibrée, activité physique, sommeil ; une perte de 5–10 % du poids initial peut améliorer les cycles et l’ovulation en cas d’excès pondéral.
- Traitements : contraception pour réguler les cycles et l’hyperandrogénie ; options pour l’acné/hirsutisme ; mètres pour la fertilité (voir articles dédiés).
- Suivi cardiométabolique selon facteurs de risque (IMC, TA, glycémie, lipides).
Sources
- ESHRE – Guidelines: Polycystic Ovary Syndrome
- Endocrine Society – PCOS Guideline
- HAS – Gynécologie & métabolisme
